Dernière partie, dernier mur. Pour pouvoir le travailler, il faut retirer le radiateur et donc purger tout le circuit de chauffage ! L'eau du radiateur est bloquée mais reste à vider le contenu encore présent dans les tuyaux. Petit récipient maison !
Après démontage, rebouchage de toutes les imperfections du mur qui n'était pas préparé.
Pour la partie ponçage, afin d'éviter que cela se propage dans toute la maison, petite cabine d’isolement avec 4 vérins et une bâche.
Aération avec une rallonge de tuyau d'aspirateur.
Après ponçage au grain de 120 des enduits de rebouchage et de finition, pose des bandes de délimitation à 2,10 mètres. Il restait de la peinture blanche utilisée sur les autres murs, cela sert de sous couche et permet d'éclaircir la teinte gris poivré qui viendra ensuite.
La veille de l'application de la couche de peinture finale, on décide de percer pour présenter les fixations de la main courante. Pensant être en présence d'un mur en parpaings, la déception est vite apparue lorsque les chevilles ne tiennent pas et pour cause, une couche de plâtre poreuse, et une sorte de mortier pauvre qui s’effrite dès qu'on le touche !
Pour assurer les fixations, découpe d'un carré de 15 cm et grattage du plâtre et des premiers centimètres.
Première opération : Durcimur, cette résine va stabiliser le mortier pauvre. Puis dans l'ordre, semelle de mortier, plâtre, enduit de rebouchage, enduit de finition ... Pendant que les enduits sèchent, premier couche de peinture gris poivré jusqu'aux carrés de réparation. Cela permet de gagner du temps
Après avoir mis également sur la zone de réparation une couche de gris poivré, on ne voit plus rien ..
Après une seconde couche de peinture.
Et même si on essaye d'appliquer des conseils comme celui ci pour éviter les traces de reprise entre les bandes Comment faire disparaître les traces d'un rouleau de peinture ?, à lumière rasante il ya toujours des traces ...
